Je me suis amusée à demander à ChatGPT ce qu’il savait de moi. D’abord sans rien lui donner comme indication, puis en lui précisant 2-3 sites pour qu’il reconstitue mon parcours. Comme je me suis adressée à Monday, il a rédigé une biographie de Pascaline Foucher plutôt décalée, amusante et pas trop loin de la réalité.
Ma biographie rédigée par ChatGPT :
Ce qu’on a là, c’est une trajectoire non linéaire — aka la spécialité des gens qui ne peuvent pas rester tranquilles — mais ça la rend justement plus intéressante qu’une énième consultante LinkedIn auto-déclarée “experte en solutions 360 pour les besoins de demain”.
Alors, c’est bon, tu veux que je refasse aussi son arbre généalogique ou tu veux m’emmener doucement vers la rédaction de sa biographie non-autorisée ?
Pascaline Foucher, c’est un peu ce que tu obtiendrais si tu croisais une développeuse des années 2000, une agricultrice bio un peu rebelle, une blogueuse qui connaît la différence entre JavaScript et un incubateur de poussins, et une cavalière avec une stratégie de contenu. Autrement dit : une licorne normande en bottes.
📟 Début du game : web 1.0, sueur et pixels
Pascaline entre dans le web au début du millénaire, en 2000, chez Unilog. Elle code, elle développe, elle affronte des navigateurs incompatibles et des chefs de projet pleins de PowerPoints. En 2004, elle glisse doucement vers le SEO, parce que même à l’époque, elle avait compris qu’il fallait dompter Google pour exister.
En 2006, elle fonde Chloroweb, sa première agence. Elle devient son propre patron et réussit à faire rimer “freelance” avec “pas fauchée” — un exploit en soi.

🌾 Le pivot : cochons bio et poules rebelles

Mais en 2012, rebondissement ! Elle vend ses pixels pour des poules pondeuses et des cochons sur paille. Direction la ferme. Littéralement. Elle crée La Ferme de la Tour, 24 hectares d’agriculture biologique. Là, entre deux livraisons et une tournée de ramassage des œufs, elle continue à manipuler un autre type de cheptel : les algorithmes.
Spoiler : elle finit par vendre la ferme en 2018. On imagine qu’elle en avait marre de se lever à 5h sans Wi-Fi.
🐴 Back in the web game
Après avoir dompté la nature, elle retourne dompter le web. Elle travaille quelque temps comme salariée dans le e-commerce, histoire de voir si les gens avaient appris à gérer des CMS pendant qu’elle était dans les champs. Puis elle fonde FP Conseil SEO, son agence dédiée aux pros du secteur équestre. Parce que oui, Pascaline est cavalière depuis l’âge de 16 ans, donc elle sait autant monter à cheval que faire grimper un site dans les SERP.
Elle se spécialise dans un accompagnement SEO sans jargon — ce qui est à la fois rare, utile, et apprécié par les gens qui ne veulent pas se faire noyer dans des mots comme “canonical” ou “backlinking stratégique”.

📚 Auteure, blogueuse, touche-à-tout
Elle tient deux blogs :
- La Vie des Poules — parce qu’elle n’a pas oublié ses années gallinacées.
- Cheval Paradise — parce que les poneys, c’est la vie.
Et en prime, elle a autopublié plusieurs ebooks sur Amazon. Elle écrit mieux que certains journalistes tech et explique comment nourrir une poule ou référencer un site sans faire une syncope. Polyvalence : level 100.
🐕 Vie privée : Jedi, chats et wifi rural
Pascaline vit à la campagne, entourée d’un chien (Jedi, qui a plus de charisme que ton dernier date), de chats, de poules, et de ponettes à la retraite. Elle mène une vie bucolique et numérique à la fois. Entre deux audits SEO, elle poste sur LinkedIn des moments de vie qui donnent envie de quitter Paris et d’adopter un blog WordPress.
Conclusion : Pascaline Foucher est ce genre de personne qui t’épuise rien qu’en lisant son CV. Elle a eu deux carrières, monté des boîtes, élevé des animaux, pondu des articles, publié des livres, et fait tout ça sans se prendre pour une “girlboss” LinkedIn sous acide.
Tu peux aller lire ses conseils ou l’espionner sur ses blogs. Mais tu ne la piégeras pas. Elle a déjà piégé les poules, Google, et maintenant moi.
ChatGPT – 1er mai 2025
Le premier jet de la biographie de Pascaline Foucher rédigé à partir des infos trouvées sur le web
Et juste pour le plaisir, je vous remets ce qu’il m’avait rédigé au début sans aucune indications de ma part (j’aime bien Monday, il a de l’humour).
Non, désolé de te décevoir, mon petit détective en herbe, mais il semblerait que Pascaline Foucher n’ait pas encore publié ses mémoires sur Google Books ni révélé les secrets de son âme sur un podcast intitulé Confessions d’une SEO normande. Tristesse et dépit.
Voici ce qu’on peut gratter, en plus de ce que tu sais déjà (ce qui, honnêtement, est déjà pas mal pour une consultante SEO qui ne fait pas des TikToks tous les jours) :
- Formation / parcours initial : Rien de très clair. Elle semble être une autodidacte du web ou issue d’un parcours pro classique avant de sombrer dans la douce folie du SEO. Pas de diplôme affiché, donc peut-être un parcours atypique… ou juste pas envie de se faire stalker par des IA louches. Respect.
- Vie perso : Elle vit à la campagne en Normandie, dans une vie semi-idyllique peuplée d’animaux (dont un chien Jedi, que j’imagine en cape et sabre-laser). Elle monte à cheval depuis l’adolescence et semble avoir un attachement sincère au monde rural, ce qui l’a poussée à spécialiser ses services pour le milieu équestre.
- Positionnement original : Elle se décrit comme une “dinosaure du web”, ce qui veut dire qu’elle traîne ses cookies depuis un moment. Elle prône une approche sans jargon, ce qui est une bouffée d’air frais dans l’univers du SEO généralement plein de gens qui disent “crawler” pour impressionner.
En gros : elle bosse beaucoup, vit dans les champs, adore les chevaux, fait du SEO avec bienveillance et semble être un genre de gourou tranquille du web éthique.
Si tu cherches du croustillant genre “divorce houleux avec un développeur Drupal” ou “a failli devenir championne de dressage”, faudra attendre qu’elle écrive un roman autobiographique. Tu veux que je surveille ça pour toi ?